Plateforme Egalité des droits = égalité des choix du Collectif pour l'égalité des droits |
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le texte : http://egalitedesdroits.free.fr/plateforme.htm voir les signatures : http://www.france.qrd.org/actions/signatures.php3?id_article=818 signer la plateforme : http://www.france.qrd.org/actions/article.php3?id_article=818 |
Conseils pratiques du Pôle juridique pour le mariage des couples gay et lesbiens |
Attitude à adopter par les candidats au mariage face aux officiers détat civil et à la mairie : http://tetu.com/infos/mariage |
Manifeste
Pour l'égalité des droits de Daniel Borrillo
et Didier Eribon
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le texte : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-356939,0.html
(17.3.2004) |
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à collecter des articles & communiqués de presse pour
les archives LGBTQ
2004 : luttes GLBTQ pour l'égalité des droits & contre l'homophobie, la lesbophobie, la transphobie, le sexisme |
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1er
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8.3.2004
:
Australie |
7.3.2004
: communiqué > association INTER CENTRES LGBT HOMOPHOBIE / LGBT-PHOBIES : LES GOUVERNEMENTS "ATTENDENT", JEAN-PIERRE, SÉBASTIEN ET 6.000 SUICIDÉES PAR AN "NATTENDENT" PLUS http://mapage.noos.fr/inter-centres-lgbt/-/index2.html |
4.3.2004
: communiqué > Collectif Interassociatif Enfance et Média
(CIEM) Les jeunes et les Radios http://www.unaf.fr/article.php3?id_article=629 Le CSA a adopté une délibération relative à la protection de lenfance et de ladolescence à lantenne des radios.."aucun service de radiodiffusion sonore ne doit diffuser entre 6h et 22h30 des programmes susceptibles de heurter la sensibilité des auditeurs de moins de 16 ans." Le CIEM estime que la protection de lenfance et de ladolescence passe par la mise en uvre dune telle mesure. Elle doit également sinscrire dans une réflexion sur les effets de la médiatisation de la violence, du sexisme et des atteintes à la dignité humaine et sur les conditions de socialisation des enfants et des adolescents face à la multiplication des supports médiatiques. Peut-on tout dire à la radio ? Il y a aujourdhui dans la société de marché une confusion entretenue entre la liberté commerciale du diffuseur qui vise à être sans limites parce que présentée comme une relation individuelle entre le média et son public (avec son pendant, la liberté du consommateur qui vise la même absence de limites) et les libertés telles que garanties par la constitution et la déclaration universelle des droits de lhomme qui ne prennent sens que dans un équilibre des libertés en interaction avec dautres valeurs : égalité, dignité, solidarité. Doit-on redouter limpact de ces émissions ? On ne peut certes appliquer à linfluence des médias un schéma simpliste, behaviouriste ou mécanique. Peut-on pour autant nier toute forme dinfluence ? Si loffre radiophonique pour les jeunes était pluraliste et diversifiée, il ny aurait pas de raison de redouter leur influence, linfluence des unes contrebalancerait celle des autres. Or la caractéristique de loffre radiophonique actuelle est que, paradoxalement, le libre jeu du marché induit des phénomènes de mimétisme entre les acteurs et de standardisation des contenus. Ce formatage des contenus a nécessairement des conséquences dans la représentation du monde (des relations interindividuelles, de ce qui est tolérable ou non, de ce qui est dangereux ou non, ...) que peuvent se faire les jeunes. Le 17 décembre, le Collectif Interassociatif Enfance et Média (CIEM) a organisé précisément son séminaire sur les radios et les jeunes. Dès le début des travaux du CIEM, sest révélée lurgence danalyser et de réfléchir sur la place de la radio qui na jamais été aussi grande dans la vie des jeunes et des adolescents en particulier. En 2004, adultes, parents et éducateurs, pris de vitesse par la rapidité et lampleur de cette évolution, connaissent mal les consommations médiatiques des enfants et des adolescents. Ils méconnaissent souvent aussi bien les contenus les plus écoutés par les jeunes que la façon dont ils les reçoivent. Une enquête, réalisée davril à juin 2003, auprès de 1025 jeunes de 12 à 18 ans et de 490 parents dans le réseau du CIEM a révélé que 96 % des jeunes interrogés, dont 56 % ont moins de 16 ans, déclarent écouter la radio. Plus des 2/3 des jeunes déclarent lécouter tous les jours et un jeune sur deux entre 1 heure et 3 heures par jour. Les parents interrogés quant à eux disent à 86 % connaître la radio quécoutent leurs enfants. Ils ont cependant tendance à sous-estimer le temps que leurs enfants passent à cette écoute. Pour les filles comme pour les garçons le moment privilégié découte se situe le matin et le soir. Ils sont encore un sur trois à déclarer lécouter après 22 heures (plus les garçons que les filles, et plus les plus de 16 ans que les moins de 16 ans qui sont quand même 31 %). Les radios jeunes arrivent très nettement en tête de classement, de leurs deux radios préférées NRJ serait la radio préférée des filles, citée par 55% dentre elles, Skyrock celle des garçons, citée par 47 % dentre eux. Europe 2, qui attire davantage les plus de 16 ans, arrive en 3ème position suivi de Fun radio. Les parents ont tendance à sous estimer laudience de Skyrock auprès de leurs enfants. Le CIEM est prêt à valoriser des espaces qui donnent à voir et ou à entendre une création de qualité. Le premier droit des enfants et des adolescents cest de rester des enfants et des adolescents. Faisons en sorte de leur réserver des espaces non pas aseptisés mais respectueux, et leur permettant de grandir à leur rythme. Il est important : - Que les programmes diffusés en radio tiennent compte jusquà 22h30 de la présence denfants et de jeunes adolescents dans leur public, et que soient repoussés au-delà les programmes qui peuvent leur poser problème ; - Que plus largement la programmation radio tienne compte du rythme de vie des enfants qui constituent une part non négligeable de leur public ; - Que les projets éditoriaux prennent en compte la demande dinformation, dexpression des jeunes tout en leur tenant un discours responsable, à linstar de ce qui se fait dans la presse écrite ; - Que loffre publique soit renforcée et que des programmes sadressent spécifiquement aux enfants ; - Quun Observatoire permanent de lenvironnement médiatique des jeunes soit constitué et alimenté par des recherches encore trop peu nombreuses, en particulier sur la radio ; - Que dans lattente des moyens nécessaires à cet Observatoire, soit poursuivi le dialogue avec les chercheurs, médecins, éducateurs sur le terrain, professionnels des médias et les institutions compétentes (CSA, Défenseur des enfants, ministères etc..). Créé en Juillet 2002, le Collectif Interassociatif Enfance et Média (CIEM) a pour objet de promouvoir la socialisation de lenfant et de ladolescent à lâge du multimédia, de représenter leurs intérêts et de favoriser la recherche et le dialogue entre éducateurs, familles, professionnels et usagers des médias, Pouvoirs Publics et chercheurs dans ce domaine. |
4.3.2004 : Journée
mondiale de la femme > Maison des femmes de Paris |
4.3.2004 : communiqué
> association Inter LGBT Journée mondiale de la femme - Contre le sexisme et les discriminations http://www.inter-lgbt.org/article.php3?id_article=244 La récente agression homophobe dans le Pas-de-Calais en rappelle une autre : celle de Sohane brûlée vive le 4 octobre 2002 pour avoir résisté aux pressions machistes dans sa cité. Dans les deux cas, cest la détermination des victimes à ne pas céder au harcèlement sexiste ou homophobe qui a été pris pour cible. À Noeux-les-Mines comme à Vitry, cest la même pulsion meurtrière - léradication de lautre par le feu, voire sa "purification" - que Sohane et Sébastien ont rencontrée, parce quelle et ils ne se soumettaient pas au modèle machiste dominant. Sohane revendiquait la liberté de ses choix, la dignité de sa personne et légalité de ses droits, tandis que Patrice et Sébastien assumaient une vie de couple qui met en cause le schéma hétérosexuel dominant. Cest leur commune insoumission aux rôles sociaux déterminés par leurs sexes respectifs qui fut le prétexte dun même déferlement de violence. Parce que les violences machistes et homophobes trouvent leurs origines dans une source commune, la journée internationale des femmes est nécessairement une journée de solidarité qui doit aider à faire reculer toutes les discriminations. Elle doit en particulier permettre de combattre la lesbophobie, une forme dhomophobie mâtinée de machisme, qui invisibilise les femmes lesbiennes, qui nie leur sexualité, ou pire, qui linstrumentalise pour épicer les fantasmes hétérosexuels masculins. À lheure où le gouvernement hésite sur la conduite à tenir dans la lutte contre les propos homophobes, lesbophobes et transphobes, et plus encore contre les propos sexistes, lInterassociative lesbienne, gaie, bi et trans appelle à la solidarité avec les organisations féministes et anti-sexistes à se rendre au rassemblement organisé samedi 6 mars 2004, à 14h00, Place de la République. |
2.3.2004
: communiqué > association Gay'Lib GAYLIB ACCUEILLE TROIS PARLEMENTAIRES UMP ET LA SECRETAIRE NATIONALE DE LUMP CHARGEE DES DISCRIMINATIONS A LEMPLOI http://www.gaylib.org/pages/communique_03-03-04.htm Le 2 mars 2004, à lAssemblée Nationale, GayLib a eu le plaisir daccueillir, pour une réunion-débat autout du thème « lutte contre lhomophobie, une priorité de lUMP », Sébastien Huyghe, Christian Decocq, Jean-Pierre Decool, Députés UMP du Nord, et Jeanette Bougrab, Secrétaire Nationale de lUMP chargée des discriminations dans le monde du travail. Au cours de cette réunion, les intervenants ont réaffirmé la nécessité de légiférer afin de sanctionner tout comportement homophobe et discriminatoire lié à lorientation sexuelle dune personne. Ladoption, laccès au mariage civil, le PACS, légalité des droits, mais également le droit à lindifférence ont été des sujets abordés, en toute franchise, par les parlementaires présents. Après avoir fait part de leur appréhension des difficultés rencontrées par les gays, ils ont répondu aux interrgogations des membres de GayLib. Ils ont assuré les membres de GayLib quils seraient pêts à examiner toute question dès linstant où celles-ci seraient de nature à renforcer légalité des droits entre citoyens. Jeanette Bougrab a également insisté sur la nécessaire reconnaissance des discriminations dont les Gays font lobjet (homophobie, adoption, droits de succesion) et sur le besoin dy mettre un terme en apportant à notre législation toutes les garanties juridiques indispensables. |
2004
:
Espagne |
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